Deuxième Geste :

Quand les rivières devinrent rouges

Jour du labeur, 17 Erastil de l’an 4711 : 

Le trajet prit deux semaines avant d’arriver au lac. sur la route menant au Lac Encarthan, nous fûmes rançonnés par les barges des prêtres de Razmir. Et pour ne rien arranger, une fois sur le lac, nous étions sujets, tous, sauf Kalum, au mal de mer.

Jour du labeur, 31 Erastil de l’an 4711:

image réalisée par Edward Kenway

Après un jour de voyage, nous montions à la demande du capitaine, sur le pont. Au dessus de nous, une bruine constante et un temps pourri. Par contre, la où regardait le capitaine Walrain, la où se trouvait l’ile de la terreur, il y avait une série de 3 montagnes qui surplombaient l’ensemble de l’ile. Au dessus de l’ile, les nuages gris étaient remplacés par des nuages noirs qui tournaient en spirale au dessus de l’ile avec des éclairs violets qui parcouraient le maelstrom en continu. 

Le capitaine nous plaça dans une embarcation (barque ) pour nous déposer sur la plage de fort landing . Il repartirait ensuite et nous attendrait au large durant 10 jours. Pour le prévenir, nous devrions faire des feux de 10 mètres d’espacement sur la rive. Nous mettions ensuite 3 heures pour arriver en barque sur la plage. Celle-ci était en sable blanc, sans traces de passage visible. Les rochers étaient gris terne, et la pente de la plage montait légèrement vers 2 collines, où la silhouette d'une ancienne forteresse en ruine se découpait. 
Arrivés sur la plage, nous avions l’impression que nous perdions progressivement nos couleurs, comme si nous faisions une réaction à l'énergie négative qui infusait l'endroit, ou qu'une portion du plan négatif avait fait une incursion sur le plan matériel. 

Kalum découvrit, en s'avançant, des traces sur le sol de plusieurs dizaines de personnes qui étaient arrivées depuis moins d’une semaine. Elles étaient parties en direction de la forteresse. Nous avancions sur la plaine, et suivions le chemin pour nous rendre à la forteresse en ruine. Kyras s’avança plus avant de notre groupe, et vit, après s’être arrêté, des loups noirs. Les yeux blancs, des volutes de fumées qui sortaient de leur gueules, les poils semblant recouvert d’une huile visqueuse et noire, avec des volutes d’une sorte de fumée noire qui s’échappait de leur corps…. Beuhark. Les loups, étant des canidés, chassaient en meute. Je les attirais et nous leur tendions une embuscade. Ils furent rapidement éliminés. Ensuite, nous progressions vers la forteresse et tombions sur un ancien feu de camp, avec des amoncèlements de pierres à 5 endroits différents. 
Les corps de cinq prêtres de Razmir se trouvaient là, tués par les loups. Nous poursuivions notre chemin en suivant les traces. La végétation était desséchée, noire et morte. Le sol changeait au fur et à mesure de notre avancée, et devenait spongieux et sombre. Après avoir marché sur quelques lieues, nous établissions notre campement. La nuit fut calme, malgré l’ environnement hostile.





Jour du bonheur, 1 Arodus de l’an 4711 : 

Image  par Ilker Serdar Yildiz
Nous reprenions la marche le lendemain matin et arrivions en fin de matinée près d’un lac noir dont l’eau était légèrement épaisse et huileuse. Octavia nous recommanda de ne surtout pas y toucher, car il s’agissait en fait d’énergie négative sous forme liquide. 
De l’autre coté du lac, il y avait une forêt : troncs blancs, sans aucune feuille, morts. Nous continuâmes notre route et tombions quelque temps plus tard, nez à nez avec un vieux fou, qui se nommait Drusan. Un pauvre ère, qui nous raconta son histoire, de manière très décousue (il semblait avoir laissé sa santé mentale sur place) : Il était "mort et revenu", "les hommes masqués étaient passés par les portes près de la rivière", "ils avaient affrontés les lézards". Nous lui demandions de nous mener jusqu’aux portes dont il parlait. Il accepta et nous repartions pour 6 à 7 heures de marche avec Drusan en direction des fameuses portes de son récit. Nous grimpâmes et fîmes campement à 2 kilomètres de chutes d’eaux (noires ) et des embruns (noires aussi ) qui s’élevaient des chutes . Nous établissions ensuite le campement pour la nuit.


Jour du serment, 2 Arodus de l’an 4711 : 

La nuit s’était bien passé, et nous partîmes avec Drusan dans la même direction, celui-ci signalant soudain un danger venant des "morts et des masques" devant nous. Kyras partit en éclaireur, et découvrit un campement des prêtres de Razmir. Une dizaine de corps étaient étalés sur le sol, à moitié dévorés, et entourés par une trentaine d’hommes lézards. D’après les traces, il restait une dizaine de prêtres qui avaient fui vers l’est. Alors que nous pensions les rattraper, nous tombions dans une embuscade des hommes lézards; je dû affronter le grand chef des lézards, plus un de ses hommes, et Kyras lui, devait en affronter deux également. Je fus assez malchanceux au cours du combat, malgré le pouvoir divin qui m’ investissait. Par contre, j’encaissais régulièrement les coups sans pouvoir vraiment les rendre. Kalum vint alors a mon secours, et nous réussissions finalement à achever le chef. Les "écailles murmurantes" étaient maintenant ma tribu, car j’avais vaincu leur chef précédent (et j'étais donc devenu leur nouveau chef).

Uguk et Ugak étaient frères de sang. Ils m’acceptèrent comme leur chef et étaient prêts à me conduire par un raccourci pour arriver avant les prêtres.
 
Je pris Octavia sur mes épaules et nous nous mettions à courir dans les marais, précédés par les hommes lézards qui nous guidaient . Apres quelques heures , nous sortions de la zone marécageuse et nous arrivions dans des terres montagneuses arides, sur un sentier qui serpentait le long de la montagne, Nous arrivions enfin devant une porte en or de 10 mètres de haut, avec des mécanismes complexes pour l’ouvrir et la faire pivoter (mais elle était déjà entrouverte (ouverte par les prêtres et surtout Iramine , à n’en pas douter ). A l’intérieur , d’immenses couloirs sculptés dans le granit, s’enfonçaient dans le ventre de la montagne, et dans les ténèbres. 

Nous nous préparâmes à avancer pour retrouver les prêtres de Razmir et la sorcière Iramine. Les 2 hommes lézards devraient protéger Octavia, comme je le leur indiquai. Nous avancions dans le noir, éclairés par la lumière de mon gantelet. Après une descente de plusieurs centaines de mètres, nous arrivions dans une grande salle avec des colonnades. Les murs étaient couverts de statues et de dessins représentant des scènes de la vie courante (la vie au sein de la cité de Kestrilon, intervint Octavia, la grande cité d’ autrefois, avant sa conquête par Tar-Baphôn). 

Le groupe que nous poursuivions était parti par une ouverture lumineuse qui se découpait au milieu d'un des murs de la salle, d'où émanait un sifflement strident, mais nous, nous prenions le temps de vérifier les murs et les inscriptions. Celles que déchiffrait Drusan en particulier, parlaient d’un joyau de l’or éternel, de feu, d’ inondation et autres. En particulier, certaines annotations retenaient notre attention : le volume d’or nécessaire pour inonder la cité, le temps qu’il fallait pour que cela arrive, la fréquence à laquelle cela arriverait. 

nous nous reposions 8 heures avant de reprendre la route.

Image réalisée par Jared Blando

Jour du feu, 3 Arodus de l’an 4711 : 

Après nous être réveillé sans avoir eu d'altercation au cours de notre sommeil, autour de nous, il y avait toujours le bruit d’un sifflement sous pression. Nous fîmes une copie du plan de la cité pour nous y retrouver, et ensuite nous repartions à la poursuite d’Iramine et des prêtres de Razmir. 

Image par Dima Savitsky

Nous arrivions devant un pont, gardé en son milieu par un golem d’or. J’attirais le golem après avoir été renforcé par les sorts de Kalum. Et alors que j’affrontais le golem, les autres passaient, etune fois le dernier de mes compagnons à l'abri,  je me transformais en oiseau (grâce à ma Cape de l’Aigle) et je partis au loin rejoindre les autres. Une fois en sécurité, le golem ne nous suivit pas. Nous arrivions ensuite devant un piège qui nous barrait le passage, et qui se déclenchait alors soudainement,  libérant un Grand Elémentaire de feu qui nous mit salement à mal. 

Après un combat assez rapide, où une nouvelle fois Octavia nous sauva la mise avec ses éclairs, nous reprenions la route après avoir éliminé l’Elémentaire de feu. Devant nous s'étalait la vue d'une immense caverne, remplie d'un dédale de métal et de terrasses où coulait de la lave lave ou de l'or en fusion (difficile à dire à cette distance), et où l'air était difficilement respirable tellement il était surchauffé. La nature du danger rencontré, et les points indiqués sur les frises des murs, que nous avions recopiées sur une carte, semblaient indiquer que nous aurions affaire à forte partie. Je proposais donc à mes camarades un autre plan, pour éviter une succession de combats qui nous auraient pour le moins affaiblis, voir tué certains d’entre nous, et surtout nous faire gagner du temps : ne pas suivre le chemin habituel et de passer à travers les murailles en grimpant ou en volant, utilisant ainsi un chemin non prévu, mais potentiellement dangereux. Nous décidâmes de nous reposer avant de reprendre notre chemin (nos sorts étant quasiment épuisés). 







Jour de l’étoile, 4 Arodus de l’an 4711 : 

Par prudence, après notre réveil, nous vérifiâmes que le chemin que nous allions prendre était moins dangereux. En observant le bas de la fosse, nous apercevions divers monstres (squelettes normaux et squelettes d’ogres recouverts d’or). Massifs, et rapides, ils risquaient de devenir un gros problème pour nous. Je décidais de servir de cible suspendue à une corde, pour attirer ces ennemis à portée d’Octavia, qui commença à dézinguer les 3 monstres qui m’attaquaient, malheureusement je pesais trop lourd, et Kalum et Kyras furent obligés de me laisser tomber sur le sol, où j’affrontai alors les squelettes, qui furent rapidement éliminés par les éclairs d’octavia. Ma Main Enflammée ne servait à rien car ils étaient immunisés. Encore un peu léger en magie j’étais !



Nous continuâmes donc notre avancée , en mettant régulièrement des cordes pour avancer, que je me chargeais de récupérer, et d’utiliser également ma Cape de l’Aigle, pour rejoindre mes camarades, une fois en sécurité. 
Une fois arrivé sur la terrasse finale, nous en profitions pour utiliser un sort de  "Télékinésie" mineure pour récupérer une partie des monceaux de gemmes autour de nous, qui étaient répartis dans les ruines de la cité où nous nous trouvions . Cela permettrait de soulager les finances de mon royaume, et d’aider à son développement, et nous permettrait aussi de nous équiper plus efficacement si nous survivions a cette péripétie. 

Nous en profitions ensuite pour descendre de la terrasse où nous nous trouvions, et là, nous fumes attaqués par un Démon d’Ombre qui nous surpris tous. Le combat fut difficile, car ses pouvoirs le masquaient à nos attaques, mais grâce à Kalum et à sa lumière divine , nous trouvions son point faible, Octavia lui montrant de quel bois nous étions fait. Nous arrivions à le vaincre définitivement, avec l’aide des "Lumières Brûlantes" de Kalum. Nous avancions ensuite et constations un peu plus loin, en haut d'une volée de marches,  la présence d’un (jeune) dragon d’or mort vivant.
Trop affaiblis pour l’attaquer immédiatement, nous décidions de nous reposer un peu à l’écart de la créature. Puis, un plan insensé se fit dans notre esprit. Nous allions attaquer la créature, moi en arrivant en volant sous forme de faucon, et les autres en étant invisibles. 
L’attaque commença, et je surpris la créature et lui fit …. pas grand-chose ! A ce moment-là, Octavia entama la créature à coup d’éclair et Kyras la frappa de concert. Magnifique coordination. Le dragon fut éliminé et nous faisions le tour de la zone pour tomber sur un trésor qui pourrait nous permettre de survivre par rapport aux dangers sans cesse grandissant.

Après avoir trouvé le trésor du dragon, nous reprenions notre infiltration au sein de la pyramide, où devait se trouver Iramine et les alliés qui lui restait. Nous pénètrâmes ensuite à l’intérieur, discrètement. Dans la pyramide, nous découvrîmes un bâtiment ouvert. Nous avancions alors et découvrions une corde déjà tendue. Nous la prenions donc et  arrivions  derrière  une  porte,  d'où  des conversations étouffées nous parvenaient. Nous décidions d’attaquer par surprise. 

Et cela fonctionna sur les 2 adversaires visibles. En effet, après les avoir vaincus assez  facilement,  nous fumes  attaqués (surtout    Kyras)    par    une assassin invisible. Nous la combattîmes et arrivions à la neutraliser sans la tuer.  Une fois ligotée, ainsi qu’une des deux autres  acolyte inconsciente, nous nous concentrâmes  sur  l’objectif  final : Iramine, qui se trouvait derrière une porte conduisant à une pièce plongée dans une température d’enfer.

Iramine
Rapidement le combat s’engagea. Elle était puissante et bardée  de pouvoirs  protecteurs  qui détournaient  nos attaques . Nous persévérions pourtant , conscients de la catastrophe   que sa survie  et son ascension  pourraient répandre  sur  le  monde .  Eclairs ,  coups  puissants , attaques de flancs, tout fut bon pour la faire plier … presque. Enfin, je croyais la tenir, jusqu’à ce que je me réveille allongé sur le sol, le corps en sang, au milieu de la fureur de la bataille, avec Kalum penché au dessus de moi. 
« Teros, tu es mort à ton tour ! Allez, au boulot, ce n’est pas terminé ». Mon regard se tourna alors vers Iramine, et, bien qu’affaibli, je repartis au combat. Alors  que je  crus  l’avoir  enfin  occis  d’un coup puissant, elle se transforma en gigantesque Elémentaire de feu, qui nous assaillit de plus belle, alors que nous sommes déjà  très  affaiblis  par  le combat  qui se prolongeait. Kyras, Octavia, Kalum, tous aidèrent à vaincre cette créature, par des attaques ciblées, des éclairs précis, des encouragements divins. Elle mit enfin un pied à terre. Iomédae guida alors ma main, et d’un coup précis et vengeur, je coupais en 2 la créature, qui en s’ effondrant à nos pieds, repris forme humaine, coupée en 2 par mon épée. La victoire était notre. Alors que je m’approchais de son corps et que je saisis le sceptre, un sentiment étrange m’envahit. J’étais sur mes gardes. Ce fut fugace et disparut rapidement. Nous quittions alors la pièce en emmenant les objets qu’elle avait sur elle. 

(Reprise du récit par Kyras ) : Nous récupérâmes les objets d’Iramine, puis nous ressortions de la pièce. Elément important : Teros en se saisissant du sceptre sentit qu’il se passait quelque chose et il dut se concentrer avant que cela ne passe. Après l'avoir testé, nous découvrîmes que le sceptre transformait en or tout ce qu’il touchait. 
Nous décidions d’interroger les prisonniers (qui se révélèrent être des prisonnières) et nous n’apprenions pas grand-chose de plus. Nous nous retrouvions par contre en charge de ces personnes, sans pouvoir les laisser volontairement mourir dans le temple. La roublarde fut impressionnée par Teros qui tenait la tête d’Iramine sur ses genoux pendant qu’il l’interrogeait. Elle nous dit s’appeler Agalonda, mais ne connaissait pas tous les tenants et aboutissants de l’histoire, ni s’il y avait un passage secret . Nous interrogions l’autre prêtresse qui en savait encore moins. 

Nous sentions que nous ne devions pas trainer, car il nous restait à peine 40h avant que la coulée d’or n’ envahisse et ne submerge la cité. En repartant, j’entendis un bruit lent mais comme si quelque chose d’immense faisait du boucan derrière la porte . Le baron ouvrit la porte et nous vîmes un grand serpent avec un visage humain qui commençait à vouloir nous attaquer. Mais dès qu’il repéra Teros avec le sceptre et le médaillon, il battit en retraite et retourna dans le fond du gouffre parmi les dizaines de milliers de pièces d’or qu’il gardait.

Nous retraversions dans l’autre sens et décidâmes de prendre un peu de repos avant de repartir. Nous en profitions pour poursuivre notre quête des pierres précieuses de la cité et nous accumulions près de 125 kg de gemmes. Nous profitions également de l’équipement de nos prisonniers pour emporter quelques kilos de pièces d’or. Et enfin nous récupérâmes également 300 pièces de platine . Tout cela nous pris 8 heures de temps. Il ne restait que 32h avant la fin, alors nous nous reposâmes 8h et il resta alors 24h. Le reste du trajet sur le chemin classique se passa sans encombre, l’effet de l’amulette nous protégeant de toutes agressions des gardiens. 

Nous retrouvions ensuite, à l’extérieur de la cité, Drusan, qui décida de nous suivre pour rentrer chez lui, et qui, dans un premier temps, nous permit aussi de prendre les chemins les plus sûrs et les plus rapides . 2 jours de trajet plutôt calme plus tard, nous arrivions au bout du marais, puis une journée de plus nous permit de nous rendre jusqu’au fort abandonné, et à la plage de sable blanc. Nous mettions en place nos feux le plus rapidement possible, pour rester le moins longtemps possible sur cette île. 2 heures environ après notre premier feu, Walren arriva avec son second pour nous récupérer ; il posa quelques questions rapides, mais accepta de prendre 3 autres passagers en plus sur sa barge. Nous ne fûmes pas moins malades sur ce trajet, et il nous fallut encore une journée supplémentaire pour arriver sur les bords du Lac Encarthan, où le roulis était plus léger. 
Il nous fallut encore un peu de temps avant d’arriver à l’embouchure de la Sellen, où nous savions que nous attendaient les rançonneurs de Razmir. Nous cachions au mieux notre trésor, et rendions invisibles nos deux prisonnières bâillonnées et attachées, mais également évanouies afin d’éviter tout code télépathique ou autre. Nous arrivions à berner les Razmiran , ce qui nous enleva une épine du pied. Il nous fallut encore deux semaines de navigation avant d’arriver à Boisoleil. Dès notre arrivée, tout le monde nous accueillit avec une joie et une chaleur non feintes. Les gens étaient heureux que nous soyons revenus vivants. Lors de la montée vers le château, malgré la liesse qui nous environnait, je remarquais, abasourdi, que les sacs de nos prisonnières étaient vides et que Teros ne trouvait plus le sceptre.




Une bonne affaire pour le créateur du sceptre, une moins bonne pour nous, même si nous ramenions de nombreuses richesses. Grâce également aux soins de Jhod nous découvrîmes que Drusan avait survécu 10 ans sur l’île, et qu’il s’avérait finalement un maitre de la discrétion et de la survie. Des atouts à mes yeux essentiels pour intégrer mon réseau d'espions, s’il l’acceptait. Nous organisions enfin une grande fête, en attendant celle prévue avec notre voisin Maegar Varn, et en attendant la capitale comportait maintenant 4 000 habitant et la baronnie près de 10 000 habitants, ce qui représentait une population conséquente, loin des quelques colons qui la peuplaient, il y avait de cela seulement quelques mois.


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